• BIO

    BIO


    Née en 1979 à Clermont-Ferrand, d’une maman vendeuse, et d’un papa décorateur d’intérieur, Julie GALIAY vécut 14 ans dans le Puy-de-Dôme, avec sa soeur Amandine. D’une enfance extrêmement belle et joyeuse, lui viennent son empathie et sa sensibilité, ce qui plus tard fera d’elle l’Artiste féministe, engagée et amoureuse de la vie qu’elle est devenue. En 1994, la famille part s’installer à Royan en Charente Maritime, une nouvelle vie qui commence donc à l’adolescence avec de nombreuses rencontres importantes, notamment son professeur d’Arts Plastiques du Collège, Mr LAIGLE. « Mr Laigle fut, je pense, un des premiers éléments déclencheur de ce besoin d’évasion, cette envie de dessiner, de créer, partout tout le temps. » En 1998, après l’obtention du Baccalauréat, elle décide d’entrer dans la vie active sans attendre. Cliquez sur la flèche pour lire la suite!

  • par Carole Juda

    Julie enchaînera les petits boulots dans la vente, aussi variés que possible et ainsi apprendra les responsabilités, gérer une équipe, un planning, gérer aussi et surtout cette vie d’adulte. Elle continue à dessiner, toujours son carnet de croquis dans un coin de sa vie et ses idées dans un coin de sa tête. Puis tout va très vite, à l’âge de 22 ans, elle rencontre l’homme qui deviendra son futur mari. En 2006, naissance de sa fille Lola, sa famille se forme, son conjoint devient artisan et Julie sera tout naturellement celle qui va le soutenir et gérer la partie administrative, en plus de son travail de mère au foyer… Plus le temps de dessiner, plus d’inspiration… En 2007 son futur mari achètera une boutique à Saint Palais sur mer, qu’elle devra donc gérer en plus de l’entreprise et des enfants, en 2009 naîtra Antoine, et avec lui une raison de s’accrocher à ce couple. En Mai 2010, l’annonce de la maladie de son père dont elle est particulièrement proche, tombe comme un coup de massue. Cancer du Pancréas. Julie sera là pour aider sa maman à s’occuper de son père, l’emmener pour sa chimio et profiter de lui un maximum…

  • Commence une année très douloureuse, très fatigante moralement et physiquement par les aller-retours à l’hôpital et la gestion quasi seule de deux entreprises et deux enfants. Christian Galiay décèdera dans la nuit du 7 Juin 2011 à l’hôpital de Saintes. Julie décidera à ce moment-là de tout faire pour le rendre fier où qu’il soit et entreprend de se remettre entièrement dans sa passion, comme un exutoire. En 2013, le besoin de peindre devenant de plus en plus pressant, elle se lance et monte un dossier pour une grande exposition à Saint Palais sur mer. Chaque été 3 artistes internationaux sont sélectionnés pour une expo personnelle d’un mois dans une veille église, « le Vieux Clocher ». Elle sera donc acceptée, choisit de traiter le thème de la danse, une autre de ses passions, et commence à peindre sur grand format (120 x 150) des œuvres avec des femmes en mouvement, des couleurs vives avec cette sensibilité qui la caractérise. Julie GALIAY devient peintre à part entière et cherche les lieux d’expositions dans sa ville et ailleurs… La passion l'emporte sur une vie de couple morne et douloureuse.

  • Comme une revanche sur la vie, Julie Galiay vit aujourd’hui pour et par son Art, femme libérée, féministe et engagée pour que toutes les femmes puissent vivre leur passion et surtout restent libres d’avoir la vie qu’elles méritent. Le corps féminin s’est imposé à elle dès l’adolescence. N’y-a-t-il pas là un destin, un besoin d’aider, de sublimer ces femmes et les rendre fortes, comme elle aime à le dire : « Les femmes sont toutes belles ».